viernes, 1 de julio de 2016

El Ciclo de Prehistoria de Puente Viesgo rendirá homenaje al guía de la cueva de Los Casares


Cartel.
 
La Sociedad de Amigos de las Cuevas del Castillo inaugurará el 6 de julio la vigésimo sexta edición del Ciclo de Conferencias sobre Prehistoria de Puente Viesgo, que se prolongará hasta el 28 de septiembre con un programa de 13 conferencias que tendrán lugar todos los miércoles a las 19.30 horas en el Gran Hotel Balneario.

El Ciclo de Puente Viesgo rendirá homenaje póstumo a Emilio Moreno, guía y conservador de la cueva prehistórica de Los Casares (Guadalajara), y conmemorará el 150 aniversario del nacimiento de Hermilio Alcalde del Río, arqueólogo y pionero en el estudio del arte rupestre en Cantabria que descubrió varias cuevas prehistóricas en la región, entre ellas la cueva del Monte Castillo en Puente Viesgo que da nombre a la entidad organizadora de la charlas.

El calendario se iniciará con dos conferencias relativas a cuevas prehistóricas asturianas, Tito Bustillo y El Sidrón. De hecho, el director de las excavaciones arqueológicas de la cavidad prehistórica ubicada en Ribadesella, Alfonso Millara, impartirá el próximo miércoles la conferencia inaugural con el título 'El primer arte a los pies de Picos de Europa'.

Una semana más tarde, el 13 de julio, el profesor de Prehistoria de la Universidad de Oviedo, Marco de la Rasilla, disertará sobre la cueva asturiana cercana a la localidad de Borines en la que se han hallado restos fósiles de neandertales con una antigüedad de 49.000 años, con la ponencia 'Los neandertales y la cueva de El Sidrón'.

Romualdo Seva, prehistoriador de la Universidad de Alicante, impartirá el 20 de julio la tercera conferencia del ciclo, 'El ocre en el Paleolítico: medicina, expresión espiritual y artística', que precederá a una ponencia de Pedro Cantalejo, coordinador del Patrimonio Prehistórico de Guadalteba, sobre la cueva prehistórica granadina de Malalmuerzo, el 27 de julio.

LOS VALLES DEL MIERA Y DEL ASÓN, EN EL HOLOCENO

En agosto, la arqueóloga Mercedes Pérez Bartolomé abordará 'La colonización de los valles altos del Miera y el Asón en el Holoceno' el día 3, una semana antes de la conferencia 'Los concheros del valle del Sado: nuevas perspectivas acerca de un área clásica del Mesolítico en Europa', que será impartida el 10 de agosto por Pablo Arias, catedrático de Prehistoria de la Universidad de Cantabria.

El 17 de agosto, Carlos Vázquez, guía del yacimiento rupestre de Siega Verde (Salamanca), analizará 'Los despieces ventrales en M en los équidos superpaleolíticos peninsulares'; y el 24 de agosto, Roberto Ontañón, responsable de la conservación de las cuevas prehistóricas de Cantabria, disertará sobre 'La Cueva Áurea (Peñarrubia) y otros conjuntos rupestres con motivos punteados complejos'.

El arqueólogo José Manuel Maíllo cerrará las conferencias programadas en el mes de agosto el día 31 con una ponencia sobre el origen del Homo-Sapiens.

El 7 de septiembre, Adolfo Rodríguez, director general de Patrimonio de Asturias, y el prehistoriador José Manuel Barrera compartirán la conferencia 'Orígenes, pervivencia y significado de un signo primordial: la vuelta al mundo en 80 Llueras', en alusión a las dos cavidades prehistóricas La Lluera en la localidad asturiana de San Juan de Priorio; que precederá a la programada el 14 de septiembre 'Arte rupestre 7D: gestión y difusión del ciclo de vida del arte rupestre', que será impartida por Vicente Bayarri, profesor de Prehistoria de la Universidad Nacional a Distancia (UNED).

La penúltima conferencia abordará los últimos estudios arqueológicos sobre el arte rupestre del Monte Castillo, en una ponencia del prehistoriador Sergio Ripoll el 21 de septiembre; justo una semana antes de que el 27 de septiembre el historiador Gonzalo Sánchez clausure el calendario de este año con la conferencia '10 legados, 10 regalos'. eldiadigital.es

jueves, 30 de junio de 2016

La grotte de Foissac «nous réserve des surprises extraordinaires»



Belle découverte pour la grotte préhistorique de Foissac ! Une statuette en os aménagée et incisée dans une phalange de grand bovidé, a été retrouvée par Sébastien du Fayet de la Tour. Le gestionnaire du site et découvreur du jour nous en dit plus.

Parlez-nous de cette statuette ? 

Il s'agit de la phalange d'un auroch ou d'un bison, d'une dizaine de centimètres. Elle a été probablement sculptée à l'aide d'un silex. On veut y voir un objet anthropomorphe dont la forme rappelle celle d'un corps humain. On voit très bien le visage, les yeux, de traits que l'on peut rapprocher à des scarifications. L'homme porte un animal ou un nourrisson à la façon de "La Vierge à l'Enfant".

En quoi est-elle exceptionnelle ?

Exceptionnelle car rare. Si les grottes ornées sont déjà particulièrement rares, celles qui livrent ce que l'on appelle des pièces d'arts mobiliers, le sont encore plus. On connaît peu d'équivalents : à la Laugerie Basse en Dordogne ou au Mas d'Azil en Ariège.

A quoi doit-on cette découverte ? 

L'hiver, la rivière lessive le sol de la grotte et met régulièrement au jour des vestiges présents dans la cavité depuis des milliers d'années qui, comme c'est le cas aujourd'hui, se retrouve [...] CentrepresseAveyron.fr


Actualización: Exceptionnelle découverte dans la grotte de Foissac - ladepeche.fr
A l'occasion de travaux d'hivernage dans la grotte de Foissac, son gestionnaire, Sébastien du Fayet de La Tour, a fait une découverte exceptionnelle.

Il n'en existe que quelques exemples, notamment en Allemagne et dans le sud de la France. C'est donc une exceptionnelle pièce d'art mobilier qui a été mise au jour par Sébastien du Fayet en zone de battement de crues du ruisseau souterrain : une petite statuette sculptée, gravée et incisée avec un silex dans une phalange de grand bovidé, probablement un bison ou un auroch, datant du paléolithique supérieur. Si l'interprétation du résultat reste aléatoire et sera tentée par le biais d'un relevé 3D, certaines incisions paraissent liées au façonnage de l'objet. «Les quadrillages réalisés ont fait éclater les écailles de l'os pour pouvoir le graver. On peut voir que des traits ont été tracés au niveau des joues, représentant des tatouages ou des scarifications, et imaginer que le personnage porte un fœtus ou un petit animal, faisant penser à la vierge à l'enfant», constate Sébastien.

L'argile comme conservateur

Si la découverte de cette statuette est exceptionnelle, sa conservation ne l'est pas moins. «L'os a subi d'importants séjours hors de l'eau, probablement en contact de l'air. Il est possible que la face externe soit restée longuement prisonnière d'une gangue argileuse déposée par la rivière, la privant d'oxygène, alors que les trois autres faces étaient en prise directe avec l'atmosphère de la grotte qui est à une température et une hygrométrie constante, à 100 % d'humidité», explique le spécialiste qui poursuit : «L'os a conservé de petites et fines plages de calcite granuleuse. Ce sont des résidus de surfaces calcitées qui furent nettement plus importantes. Leur présence révèle l'existence d'une phase durable de l'histoire de l'os nécessaire à cette formation. Il était alors au moins partiellement à l'air libre, dans la grotte, et en un lieu situé hors zone de battement des crues. Tous ces événements s'inscrivent dans de longues durées qui accordent à l'os et à son incision une grande ancienneté, totalement incompatible avec une date postérieure à la découverte de la grotte en 1965».

A l'abri dans la grotte

Depuis sa découverte par Sébastien du Fayet, la statuette a fait l'objet d'études de la part de Yanik Le Guillou, expert en art pariétal à la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), qui a conclu : «Les données dont nous disposons génèrent un faisceau de présomptions qui invite à considérer que l'objet, déjà incisé, a longuement (plusieurs millénaires) séjourné dans le réseau de la grotte de Foissac et y a subi, après incision, de multiples événements de durées parfois longues. Nous retenons donc une attribution préhistorique pour cette œuvre d'art mobilier et espérons que la poursuite de son étude permettra d'affiner cette attribution chronologique. Par contre, nous ne disposons pas de données probantes sur les conditions et les dates des déplacements qui, dans la grotte, ont affecté l'objet depuis son abandon».

En attendant que cette statuette révèle tous ses secrets, elle va faire l'objet d'un panneau explicatif installé dans le musée. «Nous étudierons ensuite la façon de la présenter au public mais il faut prendre de nombreuses précautions, notamment en termes de lumière artificielle. Elle ne sera donc pas visible du public tant que nous n'aurons pas évalué l'impact conservatoire», explique Sébastien, dont le but premier est d'enrichir le patrimoine culturel aveyronnais.

En attendant, elle restera bien protégée dans un endroit de la grotte pour l'instant tenu secret.


Actualización: Vídeo. La statuette de Foissac dévoilée au public (A 4:50)


Actualización: Sorprendente escultura paleolítica descubierta en la famosa cueva francesa de Foissac | Ancient Origins
En la conocida cueva de Foissac, ubicada en Aveyron (Francia), ha sido descubierta una fascinante y singular escultura paleolítica. Se trata de una figurita tallada de un gran hueso bovino y que presenta sorprendentes dibujos geométricos grabados sobre su superficie.

Según el diario francés Le Figaro, la cueva, que se encuentra cerrada al público entre octubre y junio, aún alberga muchos misterios, incluido el más reciente descubrimiento: esta figurita, uno de los más misteriosos hallazgos de los últimos años. Las gentes de la época prehistórica crearon un estilo de arte único, y que quizás también fuera una forma de expresar o transmitir información. Fue tallado del hueso de un uro o bisonte con una herramienta de sílex. Parte de la estatuilla fue pulimentada con una herramienta no identificada.

La figurita ha sido analizada por un experto de la Direction régionale des affaires culturelles (‘Dirección regional de asuntos culturales’). Los investigadores creen que fue tallada hace unos 20.000 años. Representa a un ser humano que parece tener algo en brazos, posiblemente un bebé. La mayoría de esculturas de esta época son de animales, por lo que el hallazgo de una figurita de aspecto humano resulta bastante singular. La estatuilla se encuentra en muy buen estado de conservación, algo sorprendente si tenemos en cuenta que estuvo sumergida en agua muchos siglos...


Actualización: Discovery of Palaeolithic sculpture in France

Inverted image of the sculpture, revealing engraved designs.
 
An article by Marie-Amélie Blin on Le Figaro - Une statuette découverte dans la grotte de Foissac - reports on the Palaeolithic sculpture which has been discovered in the French cave of Foissac. The sculpture, depicting a human figure, has been carved from a bovine bone. There are designs engraved on the piece. The well preserved sculpture is thought to be between 15,000 and 20,000 years old.

The discovery was made by Sébastien du Fayet de La Tour, part of a team working with La Direction régionale des affaires culturelles (Drac). The cave itself has remained sealed for millennia following a landslide. It was reopened in 1959. Many Palaeolithic artefacts have been found in the cave, the sculpture being the most recent...

El Museo de Almería presenta un cuenco hemiesférico de Los Millares


Cuenco que apareció en Los Millares a finales del siglo XIX.
 
Esta pieza excepcional permanecerá en el Museo de Almería durante todo el verano

29/06/16. El Museo Arqueológico de Almería va a contar durante todo el verano con una pieza excepcional entre sus muros. Se trata de un cuenco hemiesférico de Los Millares, de paredes finas y reproducido por Manuel Salas Barón. En la actualidad el original se encuentra en el ‘Asmolean Museum’ de Oxford (Inglaterra) desde 1897.

Su exposición responde a las actividades organizadas para este año por la Asociación Luis Siret de Amigos y Amigas del Museo de Almería, enmarcada dentro de la conocida pieza del mes. Mañana será presentada al público, y para ello la Asociación ha preparado la conferencia “Cerámica prehistórica. Un proceso recuperado”, que estará a cargo de Manuel Salas Barón. Manuel Salas, carpintero de profesión, sin embargo es un gran conocedor de los materiales y las técnicas empleadas por los hombres y las mujeres en la prehistoria almeriense, sobre todo en la elaboración de los recipientes cerámicos, muchos de ellos elaborados para la inauguración del propio Museo de Almería en 2006. [...] noticiasdealmeria.com/ / link 2

¿Cómo desapareció el 'hobbit'?


La cueva de Flores (Indonesia), donde se encontraron los restos del Hobbit - University of Wollongong
 
El descubrimiento de fuego arroja nuevos datos sobre su extinción.

Europa Press. Una nueva evidencia crucial ha revelado que los humanos modernos ('Homo sapiens') probablemente emplearon el fuego en Liang Bua hace 41.000 años, reduciendo la brecha de tiempo entre el último 'hobbit' ('Homo floresiensis') y los primeros humanos modernos en este sitio en la isla indonesia de Flores.

La investigación, dirigida por la Universidad de Wollongong (UOW, por sus siglas en inglés), en Australia, y el Centro Nacional de Investigación de Indonesia para la Arqueología, y publicada este miércoles en 'Journal of Archaeological Science', se encuentra entre la evidencia más temprana de los humanos modernos en el sudeste asiático.

El autor principal, el doctor Mike Morley, investigador y geoarqueólogo en el Centro para la Ciencia Arqueológica (CAS, por sus siglas en inglés) de la UOW, señala que el hallazgo es "extremadamente importante" para descubrir por qué y cómo el 'hobbit' desapareció hace unos 50.000 años.  [...] Heraldo.es / Link 2


Link 3: Fire discovery sheds new light on ‘hobbit’ demise - UOW

Dr Mike Morley, from the University of Wollongong, Australia, with a sediment sample taken from Liang Bua. The sample contains crucial new evidence that has revealed modern humans (Homo sapiens) were likely using fire at Liang Bua 41,000 years ago. Credit Paul Jones | University of Wollongong

The plot thickens in the mystery of the hobbit’s demise, with new evidence narrowing the time gap between modern humans and hobbits at Liang Bua.

Crucial new evidence has revealed modern humans (Homo sapiens) were likely using fire at Liang Bua 41,000 years ago, narrowing the time gap between the last hobbits (Homo floresiensis) and the first modern humans at this site on the Indonesian island of Flores.

The research, led by UOW and Indonesia’s National Research Centre for Archaeology and published in the Journal of Archaeological Science today (30 June), is among the earliest evidence of modern humans in Southeast Asia.

Lead author Dr Mike Morley (pictured above and below), a research fellow and geoarchaeologist at UOW’s Centre for Archaeological Science (CAS), said the find is “extremely important” in the quest to discover why and how the hobbit disappeared, around 50,000 years ago...

Prehistoric tombs may have doubled as star-gazing observatories


1/4. Dolmen da Orca, a typical structure in Western Iberia, part of the megalithic cluster of Carregal do Sal.

Clare Wilson. Thousands of years before the invention of the telescope, prehistoric humans may have built underground observatories to espy faint stars. There may even be countless such structures hiding in plain sight in Europe, as they were also used as burial tombs.

The structures are known as “passage graves” – underground tombs that connect to the outside with a long, straight corridor. They are common throughout Western Europe, from Portugal to Scandinavia.

Now archaeoastronomers are making the case that they could also have been used for spotting stars at dawn, when they are normally too faint to see. The enhanced vision arises because someone looking out along the passage from the depths of the tomb would find its walls blocked out most of the ambient light. The viewer’s eyes would also be adapted to the dark.

2/4. What we might have seen from Carregal do Sal megalithic structure, at dawn in late April, circa 4,000 B.C. All images: Fabio Silva.

This would allow knowledgeable observers to spot stars at morning twilight as they come into view for the first time that year, having previously been below the horizon, says Fabio Silva at the University of Wales Trinity Saint David in the UK. Silva presented the theory at the National Astronomy Meeting in Nottingham this week. [...] New Scientist / Link 2 


Actualización: Las tumbas de corredor megalíticas pudieron ser también observatorios astronómicos
Las tumbas de corredor son cámaras funerarias a las que se accede por un pasaje estrecho de piedras o megalitos dispuestos como entrada. Datan de la época neolítica y existen ejemplos en toda Europa, desde Portugal hasta Escandinavia, e incluso en el norte de África. En España son especialmente abundantes en Cantabria, Galicia y País Vasco. Ahora una nueva teoría apunta a que además de monumentos funerarios, pudieron servir también como observatorios astronómicos.

Según reporta New Scientist la teoría fue presentada recientemente por Fabio Silva en el National Astronomy Meeting de Nottingham. Silva cree que los corredores de las tumbas eran usados para observar las estrellas al amanecer, un momento en que éstas serían más dificiles de ver desde el exterior. Las paredes del corredor bloquearían la luz ambiental y, al mismo tiempo, adaptarían los ojos del observador a la oscuridad...

Newfound Human Species Suggests Africa Was Evolutionary Melting Pot



The skull of Homo naledi. Credit: John Hawks, Wits University

The most recently discovered extinct human species may have lived less than 1 million years ago, researchers have discovered.

This finding suggests that a diverse range of human species might have lived at the same time in Africa, just as they might have in Asia, researchers said.

In 2015, scientists reported South African fossils of a hitherto-unknown relative of modern humans that possessed an unusual mix of features, such as feet adapted for a life on the ground but hands suited for a life in the trees. The fossil's discoverers named the species Homo naledi, and noted that although the early human had a brain about the size of an orange, these humans may have performed ritual burials of their dead.

Frustratingly, the age of H. naledi remains unknown. "This has been one of the biggest points of consternation for other researchers," said study co-author Mark Collard, a biological anthropologist at Simon Fraser University in British Columbia, Canada. [...] livescience.com

miércoles, 29 de junio de 2016

Un poblado de 4.500 años en Gandia

Las excavaciones en un solar de Sanxo Llop revelan que la población se dedicó durante siglos a la agricultura, ganadería y metalurgia del cobre 

Uno de los yacimientos arqueológicos más ricos de Gandia, ubicado en la partida de Sanxo Llop, ha sacado a la luz restos de un poblado de 4.500 años. Hay piezas desde el comienzo del calcolítico del tercer milenio hasta el siglo XII después de Cristo. Cinco enterramientos, 80 silos para guardar grano, puntas de flecha y fragmentos de cerámica son algunos de los hallazgos que demuestran la ocupación y la incesante actividad que, siglo tras siglo, ha tenido este enclave.

El equipo de arqueología liderado por Josep Pascual y Maria Barberá, y que comprende una decena de profesionales, lleva desde febrero realizando excavaciones en una parcela de aproximadamente 7.000 metros cuadrados situada frente al centro comercial La Vital. La firma de supermercados Lidl, que va a construir una nave, financia los gastos de las excavaciones obligatorias dado que es una zona de protección arqueológica.

El emplazamiento, en el Camí Vell de Daimús, está situado junto al río Serpis, que facilitaba las tareas cotidianas a los habitantes. Estos se dedicaban, principalmente, a la agricultura, la ganadería y la metalurgia del cobre.

Destaca el trabajo de la talla de sílex y sobre hueso. Asimismo, hay materiales y estructuras de los siglos V a I antes de Cristo y de los siglos I-VI después de Cristo hasta restos de época medieval andalusí (siglo XII).

Sanxo Llop, que no sólo abarca el solar que se está excavando sino buena parte de su entorno, es un yacimiento arqueológico que inicia su poblamiento hacia el V milenio antes de Cristo, aunque su máximo desarrollo sería a finales del Neolítico (III milenio), según comenta Pascual. Las labores en el solar contiguo empezaron en 2006 y ya hubo sorprendentes hallazgos.

En la parcela en la que actualmente se está trabajando han aparecido 80 estructuras pertenecientes a silos, que servían para almacenar grano. Estas se encuentran excavadas sobre arenas fluviales y/o sobre gravas de origen fluvial.

«La mayoría de estructuras son de planta circular, otras ligeramente ovaladas y las menos irregulares son grandes vertederos. Encontramos superposiciones de estructuras de diferentes momentos cronológicos, así como estructuras que cortan/rompen otras, siempre hasta el momento de cronologías diferentes. De hecho las más abundantes son claramente prehistóricas, tal como esperábamos, concretamente de mitad del III milenio, Calcolíticas.

No descartamos la posibilidad que alguna estructura sea anterior, posiblemente IV milenio». La mayoría de fosas y silos cuentan con materiales abundantes tanto cerámicos, líticos, malacológicos, etcétera.

Restos romanos... Las Provincias

I Congreso Internacional sobre Sociedades Transicionales en el Suroeste Penínsular

1916-2016 Cien años de arqueología en la cueva de El Conejar


Lucía Bermejo y Mario Modesto, del Centro Nacional de Investigación sobre la Evolución Humana (CENIEH), forman parte del Equipo de Investigación Primeros Pobladores de Extremadura (EPPEX), que organiza el I Congreso Internacional sobre Sociedades Transicionales en el Suroeste Peninsular (TRANS-SW), del 24 al 26 de noviembre en Cáceres, con motivo del centenario de las primeras excavaciones en la cueva norbiense de El Conejar.

Este congreso, que cuenta con la colaboración de la Fundación Extremeña de la Cultura y otras entidades locales, quiere ser un espacio de encuentro entre los investigadores que tienen como objeto de estudio los últimos cazadores-recolectores y las primeras sociedades productoras en un área como el suroeste de la Península Ibérica.

Hasta el 30 de julio se pueden enviar comunicaciones sobre cualquier tema arqueológico incluido en alguna de las cuatro sesiones principales del congreso: Paleolítico superior; Epipaleolítico-Mesolítico; Neolítico-Calcolítico, y el final de la Prehistoria y la Protohistoria (Edad de Bronce-Hierro).

Se otorgará un premio de 300 € al mejor póster dentro de la modalidad de estudiante: Student poster prize. Solo se podrá poder optar a este premio, si no se esté en posesión del título de doctor en el momento de la presentación del póster. Canal 54

Más información 

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Terrinches entrega piezas excepcionales al Museo de Ciudad Real


Fig. 13. Cuenta de madera: Nº. 1 y 3. Fotografías realizadas con lupa binocular Leica (Nº. 1, visión polar; Nº. 3, visión ecuatorial). Nº. 2 y 4. Fotografías realizadas con microscopio electrónico de barrido. (Nº. 2, detalle de perforación de cuenta TE15BO/26013-58; Nº. 4, detalle de la superficie pulida).

Nicasio Peláez, alcalde de Terrinches (Ciudad Real), y Luis Benítez de Lugo, director de las excavaciones arqueológicas en Castillejo del Bonete, Bien de Interés Cultural, BIC, han entregado al Museo de Ciudad Real material selecto excepcional recuperado bajo los túmulos prehistóricos de la localidad. 

Entre las piezas entregadas se encuentran una cuenta de madera fósil pleistocena, fechada entre 40277 y 37896 cal. BC. “Esta datación no debe ser considerada para datar el yacimiento, sino la materia prima a partir de la cual se creó la cuenta”, ha señalado el arqueólogo director de las excavaciones.

Por su parte Nicasio Peláez comenta como  'este objeto de adorno se recuperó dentro de la cueva y ha sido estudiada en un Microscopio Electrónico de Barrido de presión variable en el Laboratorio de Microscopía Electrónica y Microanálisis (Microlab) del Consejo Superior de Investigaciones Científicas”.

Otras de las piezas entregadas son puntas de flecha y un puñal de remaches, localizado debajo de una laja caliza de aproximadamente 30 cm en su longitud. El cuchillo conserva dos remaches y presenta otras tres perforaciones. Las dos inferiores se sitúan por debajo de la huella del enmangue, a la altura de dos leves escotaduras laterales que delimitan un ligero estrechamiento de la hoja.

Se trata de una disposición atípica, ya que los puñales con tres remaches presentan una disposición triangular de las perforaciones, como la que presentan las tres perforaciones superiores de este puñal. Los dos remaches quedan excesivamente próximos y alineados con el hueco superior. Todo ello sugiere que la disposición actual de los remaches se debe a una rectificación en una configuración inicial con tres remaches, comentan.

También se ha encontrado un colgante elaborado con una concha de un molusco marino de la familia Collumbellidae. Está tan pulido por desgaste en sus dos caras que prácticamente no conserva ninguna estructura externa ni interna, llegando incluso hasta haber desaparecido la columela (eje interno en torno al cual giran los caparazones de los gasterópodos).

El estudio completo de estas piezas ha sino publicado en el último número de la revista científica MENGA y puede descargarse a través del siguiente enlace:

BENÍTEZ DE LUGO ENRICH, L., (2015): "Paleoecología y cultura material en el complejo tumular prehistórico de Castillejo del Bonete (Terrinches, Ciudad Real)". Menga, Revista de Prehistoria de Andalucía, 6: 112-140. ISSN: 2172-6175. eldiadigital.es


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martes, 28 de junio de 2016

20.000 Años comiendo mejillones


2/5

EFE.- Un equipo de investigadores españoles ha constatado que los habitantes prehistóricos de la Cueva de Nerja, en Málaga, comenzaron a consumir moluscos bivalvos a finales de la época Solutrense, es decir, hace más de 20.000 años.

El estudio, publicado en Quaternary International, ha sido dirigido por el profesor del Departamento de Prehistoria y Arqueología de la UNED, Jesús F. Jordá, y se ha hecho en colaboración con investigadores de la Universidad de Valencia, de la Universidad de Salamanca y del Instituto Geológico Minero de España.

Para este trabajo, los investigadores han analizado los restos de más de 124.000 conchas de moluscos, recuperados en las excavaciones arqueológicas que se han llevado a cabo en la sala del Vestíbulo de la Cueva de Nerja (Nerja, Málaga).

Tras el análisis, los investigadores han determinado que el consumo masivo de moluscos en esta zona empezó hace unos 20.000 años, cuando la cueva estaba ocupada por cazadores-recolectores que desde entonces empezaron a ser mariscadores.

El trabajo, centrado en los bivalvos, ha permitido a los científicos averiguar también que las principales especies consumidas como alimento eran, junto al mejillón, los berberechos y las almejas, mientras que otras especies se recogieron en la playa con fines utilitarios, como las conchas de vieiras y de ostras, que fueron usadas como lámparas.

Las excavaciones corresponden a un registro estratigráfico comprendido entre hace 30.000 y 7.000 años antes del presente, explica Jordá en un comunicado.

En ese tiempo se sucedieron en la cueva ocupaciones de grupos humanos del Paleolítico superior, Mesolítico y Neolítico antiguo que dejaron abundantes restos de los moluscos que consumieron.

Por aquel entonces, "el nivel del mar se encontraba a 118 metros por debajo del nivel actual y la línea de costa estaba alejada 5 kilómetros de la actual, durante el Último Máximo Glacial", puntualiza el geólogo de la UNED.

El consumo de moluscos aumentó notablemente con el deshielo glacial de finales del Pleistoceno superior hasta los comienzos del Holoceno, de tal forma que durante el Epimagdaleniense, hace unos 12.000 años, los habitantes de la Cueva de Nerja, todavía cazadores-recolectores, acumularon enormes cantidades de conchas, fundamentalmente de mejillones", sostiene el investigador.

Este intenso consumo de moluscos continuó en el Neolítico antiguo, siendo los bivalvos un complemento para la alimentación de estos grupos humanos, "que ya eran capaces de producir alimentos", tal y como señala el experto. El estudio determina que, durante el Epimagdaleniense, los mejillones eran recolectados en mazos en los acantilados de la costa, de tal forma que se aportaban a la cueva ejemplares de todos los tamaños, desde alevines hasta ejemplares adultos, aptos para el consumo. lavanguardia.com / Link 2 (UNED)

Referencia: Breaking the waves: Human use of marine bivalves in a microtidal range coast during the Upper Pleistocene and the Early Holocene, Vestíbulo chamber, Nerja Cave (Málaga, southern Spain).


Actualización: Audio. Los prehistóricos de la cueva de Nerja comían marisco y pescado - Punto de enlace - Punto de enlace - RTVE.es A la Carta
Es el resultado de un estudio de la UNED y que ha sido publicado en 'Quaternary International'. Hace 20.000 años nuestros antepasados ya comían moluscos y pescado. Además utilizaban las conchas para otros usos, por ejemplo, de antorchas. 

Las excavaciones se ha realizado en la cueva de Nerja, en Málaga, donde han analizado 124.000 moluscos. Entrevistamos al autor principal del estudio, a Jesús F. Jordá Pardo, que ha realizado la investigación junto a la Universidad de Salamanca, de Valencia y el Instituto Geológico y Minero de España.
(A partir del min 8:40).

50 Grandes Enigmas De La Prehistoria



Libro: 50 Grandes Enigmas De La Prehistoria
José Luis Cardero (Autor)
Tapa blanda: 244 páginas
Editor: Cydonia (8 de marzo de 2016)
Colección: Historia Oculta
LEE ÍNDICE Y PRIMERAS PÁGINAS

Este libro es un viaje por los más sorprendentes enigmas de la Prehistoria. El autor, un reconocido antropólogo, responde a preguntas como las siguientes: ¿En qué creían nuestros ancestros? ¿Qué ritos practicaban para contactar con el Más Allá? ¿Eran caníbales? ¿Qué significan las pinturas y grabados rupestres que nos legaron? ¿Utilizaban un lenguaje para comunicarse? ¿Entonaban canciones? ¿Quiénes eran los chamanes y cuál era su poder dentro de la comunidad? ¿De qué y cómo se alimentaban? ¿Creían en Dios? ¿Vivían en parejas o practicaban el amor libre? Éstas y otras muchas cuestiones tienen solución en este apasionante trabajo.

Vídeo: ENIGMAS DE LA PREHISTORIA - Grandes enigmas de la historia ( Capítulo 1 ) con José Luís Cardero - LA CAJA DE PANDORA
Ver en PaleoVídeos > L.R.2.10 nº 41.

Audio: José Luis Cardero nos desvela '50 grandes enigmas de la prehistoria' - RADIO ONDA CERO

La riqueza que está aún por desenterrar en Murcia


Cueva Negra

Arqueólogos, técnicos y voluntarios poblarán este verano media docena de yacimientos repartidos por toda la Región en busca de las claves que ayuden a reconstruir nuestro pasado

Excavar y remover la tierra en busca de pistas e indicios que ayuden a reconstruir el pasado, que, al menos, aporten nueva información para armar el puzle de la historia que cobija desde hace siglos el rico subsuelo murciano. Es lo que se proponen las campañas arqueológicas que este verano se desarrollarán en diversos puntos de la Región. Algunas de ellas ya han empezado a retirar las primeras capas de arena y otras comenzarán a hacerlo en un par de semanas.

Actuaciones más o menos extensas y con mayor o menor financiación que tendrán como escenario los yacimientos paleoantropológicos de Cueva Negra, en Caravaca de la Cruz; y la Sima de las Palomas, en Torre Pacheco; el asentamiento argárico de La Almoloya, en Pliego [...] La Verdad

Watch as University of Reading archaeologists piece together Stone Age arrowhead


1/2. Neolithic arrowhead
 
The Neolithic arrowhead found by archaeologists at the University of Reading is the finest ever found in Britain 

Archaeologists from the University of Reading have put back together the pieces of a Neolithic flint arrowhead for the first time in 4,500 years.

The find is the finest Stone Age arrowhead ever found in Britain.

It took archaeologists from the University of Reading five years to realise their discovery as the two parts of the arrowhead were unearthed during two digs, five years apart, at Marden Henge in Wiltshire.

The main part of the finely worked arrowhead was found in excavations in 2010. Last year, an elongated barb was discovered a few yards away, which looked as if it might be linked to the previous find.

The moment the two pieces were brought back together for the first time in 4,500 years at the Wiltshire Museum in Devizes was captured on film just released by the University of Reading.

Dr Jim Leary, of the department of archaeology and director of the archaeology field school where the excavations took place, said: “This is a remarkable discovery... (Video) Get Reading


VideoThe finest Neolithic arrowhead in Britain
Ver en PaleoVídeos > L.R.2.9 nº 55.

lunes, 27 de junio de 2016

La Edad de Bronce británica revive gracias a tecnología española


 
El archivo de la Edad de Bronce del Reino Unido, recuperado gracias a una plataforma española de investigación colectiva

Las plataformas colaborativas y las impresoras 3D no tienen por qué estar asociadas a productos y servicios de última generación. Pueden hacer también un gran favor a ramas mucho más tradicionales o a objetos de hace millones de años.

El British Museum y la British Library se fijaron en una tecnología española llamada Pybossa que permitía, mediante la colaboración ciudadana, llevar a cabo estudios científicos que no podían realizarse con máquinas ni con una plantilla reducida de profesionales.

Este software, comercializado por la empresa Scifabric, puede ser adaptado a proyectos de índoles muy diversas. Bastó con que SciFabric creara un par de plantillas para el British Museum y les impartiera formación para que en pocos meses ellos pudieran gestionar de forma autónoma Micropasts, un proyecto centrado en la recuperación y la clasificación de objetos de la Edad de Bronce que ha probado que el uso de metodologías de participación ciudadana es perfectamente válido en investigación arqueológica. [...] Yorokobu


 

Vuelo sobre el santuario del Pla de Petracos


Pla de Petracos, Castell de Castells, Alicante. from Jorge Molina Lamothe on Vimeo.

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Ancient 'Deep Skull' from Borneo full of surprises


1/2. Bones from the 37,000 year old Deep Skull from Niah Cave in Sarawak. Image credit: Curnoe

University of New South Wales. A new study of the 37,000-year old remains of the "Deep Skull" - the oldest modern human discovered in island South-East Asia - has revealed this ancient person was not related to Indigenous Australians, as had been originally thought.

The Deep Skull was also likely to have been an older woman, rather than a teenage boy.

The research, led by UNSW Australia Associate Professor Darren Curnoe, represents the most detailed investigation of the ancient cranium specimen since it was found in Niah Cave in Sarawak in 1958.

"Our analysis overturns long-held views about the early history of this region," says Associate Professor Curnoe, Director of the UNSW Palaeontology, Geobiology and Earth Archives Research Centre (PANGEA). [...] EurekAlert!

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Actualización: El misterio del antiquísimo cráneo humano de la Caverna de Niah en Borneo — Noticias de la Ciencia y la Tecnología
Un nuevo estudio de los restos de 37.000 años de antigüedad de un cráneo que corresponde al humano anatómicamente moderno más antiguo descubierto en una isla del sudeste de Asia ha revelado que esta persona no era del mismo linaje que los aborígenes australianos como se pensaba originalmente. El cráneo perteneció a alguien de otra etnia. Y además, muy probablemente se trataba de una mujer adulta, en vez de a un adolescente.

La investigación, liderada por Darren Curnoe, de la Universidad de Nueva Gales del Sur en Australia, representa la investigación más detallada del antiguo cráneo, desde que fue encontrado en 1958, en la Caverna de Niah, situada en el estado malayo de Sarawak, en la Isla de Borneo.

El nuevo análisis desbarata creencias largamente mantenidas sobre la historia antigua de esta región.

Curnoe y sus colegas han encontrado que las características principales de la misteriosa mujer, inferibles del análisis de sus restos óseos, se parecen mucho más a las típicas de algunos de los indígenas de Borneo de hoy en día, incluyendo su cuerpo pequeño y de constitución ágil, en vez de a los rasgos corporales propios de los aborígenes australianos.

El cráneo fue descubierto por Tom Harrisson, del Museo de Sarawak, durante excavaciones de la Boca Oeste del gran complejo de cuevas de Niah, y fue analizado por el eminente antropólogo británico Don Brothwell.

En 1960, Brothwell llegó a la conclusión de que el cráneo pertenecía a un varón adolescente y que representaba a una población de tempranos humanos anatómicamente modernos que estaban muy emparentados evolutivamente con los aborígenes australianos, en particular los habitantes de Tasmania, o que incluso eran los antepasados de estos...

Rocky future for Somalia's ancient cave art



AFP. Centuries have passed since Neolithic artists swirled red and white color on the cliffs of northern Somalia, painting antelopes, cattle, giraffes and hunters carrying bows and arrows.

Today, the paintings at Laas Geel in the self-declared state of Somaliland retain their fresh brilliance, providing vivid depictions of a pastoralist history dating back some 5,000 years or more.

"These paintings are unique. This style cannot be found anywhere in Africa," said Abdisalam Shabelleh, the site manager from Somaliland's Ministry of Tourism.

Then he points to a corner, where the paint fades and peels off the rocks. "If nothing is done now, in 20 years it could all have disappeared," he added.

The site is in dire need of protection. "We don't have the knowledge, the experience or the financial resources. We need support," Shabelleh said.

The paintings, some 50 kilometers (30 miles) from Hargeisa, capital of Somaliland, are considered among the oldest and best preserved rock art sites in Africa but are protected only by a few guards who ask visitors not to touch the paintings. [...] The China Post


Link 2: Video: Ancient caves in Somalia prone to erosion - PressTV
The unique and stylish cave paintings of Laas Geel in Somalia continue to bedazzle archeologists and historians with their ancient brilliance... 

sábado, 25 de junio de 2016

Stonehenge from the Air: Aerial View of an Ancient Landscape




MegalithomaniaUK. Aerial footage of Stonehenge and the mounds in its landscape. Filmed just before the Summer Solstice 2016.

Vídeo añadido a PaleoVídeos > L.R.2.10 nº 40. 

Many thousands of years ago life flourished in the Gobi desert


1/5. Flint deposits in Flint Valley. Photo by J. Szykulski
 
Many thousands of years ago life flourished in the Mongolian Gobi desert. Archaeologists from Wrocław discovered traces of a rich settlement from the period of the Stone Age. Prof. Józef Szykulski told PAP about the results of the excavations. 

Currently, the Gobi is the second largest desert area in the world. The area is completely devoid of road infrastructure and inhabited only by a few nomadic families. The study shows, however, that many thousands of years ago, the conditions in the area were more favourable to life than now.

Archaeologists found many traces of old camps - said in an interview with PAP Prof. Józef Szykulski from the Institute of Archaeology, University of Wroclaw, who leads the project together with Prof. Mirosław Masojć.

Camps were located on the shores of lakes - now dried. Based on the findings, researchers concluded that thousands of years ago richness of species of animals lived in the study area, benefiting the ancient inhabitants of the desert.

Archaeologists discovered mainly stone tools and the waste associated with their production. "Varied forms of discovered products and different techniques of processing raw stone confirm that the individual sites had been repeatedly inhabited in different periods of history" - added Prof. Szykulski.

The oldest finds are represented by a massive stone tools made by the Middle Palaeolithic communities (200 thousand - 40 thousand years ago). Archaeologists have also discovered smaller stone products from later periods, as well as millstones, stone grinders and fragments of pottery from the Neolithic. [...] Science & Scholarship in Poland

Canada. 12,000-year-old campsite found near N.B. highway



Archeologists have unearthed a campsite thought to be more than 12,000 years old next to a stretch of highway near Fredericton, N.B., and the rare find could fill a critical gap in Canada’s Maritime history.

Evidence of the ancient encampment was first spotted two years ago by workers building a highway bypass. The province’s Department of Transportation issued a stop-work order and shifted construction to avoid disturbing the site.

Now, three weeks into the dig, a fully intact fire pit containing ancient charcoal, along with arrow heads and a stone tool for cleaning animal hides have been found among over 600 artifacts.

Brent Suttie, the provincial archeologist leading the 22 member team, says the ground underneath his tarps used to form the shores of a glacier lake larger than any in New Brunswick today.

“This gives us our only glimpse into what people were doing during this time period,” he told CTV Atlantic... (Video) CTV News / Link 2 (Videos)


Actualización: Ancient tools found near Route 8 now believed to be 12,700 years old - CBC News

1/3. (Philip Drost/CBC)

Ancient tools and artifacts uncovered along Route 8 near Fredericton have turned out to be older than expected.

The artifacts are now believed to be 12,700-years-old, 700 years older than previously thought, said Brent Suttie, the director of the archeological services branch in the Department of Tourism, Heritage and Culture.

"We were fortunate enough to find a fire pit … and a living floor that confirm that the area was occupied between 12,600 and 12,700 years ago," said Suttie...

Exploring the prehistory of Palawan Island through human remains


1/3. Copyright : Witthaya Phonsawat

Researchers are excavating human remains from caves in Palawan Island in the Philippines to learn more about the diversity of burial and other cultural practices over the past 10,000 years.

Since 2004, archaeologists from the University of the Philippines Diliman (UPD) have systematically excavated and processed human remains from caves in northern Palawan Province. So far, this work has yielded numerous human skeletal materials ranging in age from the late Palaeolithic (9,000 Before Present), through the Neolithic (~4,000 BP) and Metal Periods (~1,000 BP), to the late millennium. [...] researchsea.com

The people who ate elephant heads


Remains of a straight-tusked elephant (Credit: FunkMonk/CC by SA 3.0)
 
During the Stone Age, an elephant’s pate was the best meal on the menu

Ancient humans dined out by eating the massive heads of now extinct elephants.

According to new research, people living in Palaeolithic times, commonly known as the Stone Age, hunted elephants as a valuable source of food.

As well as eating their bodies, they made the most of the animals’ huge heads.

They scooped out and ate the elephants’ brains, but also their trunks, tongues, glands, and even their skulls and lower jaw bones.

That helps explain why early humans transported elephant heads with them as they travelled between sites.


The extent to which Palaeolithic humans ate elephants has been hotly debated.

It has long been accepted that early humans hunted and ate animals, as vital sources of proteins and fat.

“Carnivory has been a human trait from our earliest stage to today,” say researchers in a paper published in the journal Quaternary International.

But scientists have questioned whether elephants were too big to kill. Instead of actively hunting them, early humans might instead have scavenged the remains of dead elephants killed by age or other predators.

Now a new study not only concludes that elephants were hunted, but that their heads [...] BBC - Earth 

Eastern Africans Hunted with Poison-Tipped Arrows at least 13,000 Years Ago


Four of the projectile point fragments recovered from Kuumbi Cave: (A, C and G) impact fractures; (B and D) possible retrieval cut marks; (E) rounded tip; (F) post-depositional fracture revealing bone surface; (H) change in surface appearance. Magnification: A, C, G, and H at 65x; B at 85x; D at 100x; E at 200x. Image credit: Michelle C. Langley et al.

A team of archaeologists studying bone artifacts discovered in a cave on the island of Unguja in the Zanzibar archipelago of Tanzania has found evidence to suggest that bone tools were used for hunting, and even as poison arrow tips.

Bone technology was essential to a Stone Age man’s lifestyle and has been shown to have been in use 60,000 years ago.

The majority of the evidence to support this has been found in sites in southern Africa, but now 13,000-year-old artifacts found in a large limestone cave known as Kuumbi show that this technology was being adopted in eastern Africa as well.

The team, led by Dr. Michelle Langley from the Australian National University, investigated a small assemblage of seven bone artifacts — five bone projectile points, a bone awl, and a notched bone tube — recovered from the Kuumbi Cave.

By analyzing the finds with a camera and microscopes, the scientists were able to compare the manufacture techniques and wear to previous discoveries and to attempts to replicate this technology in the lab.

Their findings, published in the journal Azania: Archaeological Research in Africa, showed that the bone projectile points are likely to have been used for poison arrows, partly due to the slender and short nature of the arrow heads, and partly supported by a previous discovery of charcoal from the Mkunazi plant, which is known to have poisonous fruit. [...] Sci-News.com


Actualización: Hace 13.000 años se usaban flechas con veneno en Zanzíbar Su estudio morfológico indica que de otro modo serían demasiado pequeñas para abatir a sus presas 

No podemos evitarlo, nos gustaría conocer los más nimios detalles de cómo era la vida en la Prehistoria. Desde cómo fabricaban sus herramientas a sus estrategias de caza, e incluso su menú. En el archipiélago de Zanzíbar se han localizado en una cueva abundantes útiles de hueso que han sido estudiados en profundidad, tanto para comocer su tecnología de fabricación como para dilucidar cómo fueron usados. Las abundantes puntas de proyectil de hueso encontradas resultan finas y cortas como para causar heridas mortales a grandes mamíferos, por lo que sus investigadores creen que se usaban junto con veneno para hacerlas más efectivas...

UTM professor discovers new origins for farmed rice


Credit: © kazoka303030 / Fotolia
 
Chew on this: rice farming is a far older practice than we knew. In fact, the oldest evidence of domesticated rice has just been found in China, and it’s about 9,000 years old. The discovery, made by a team of archaeologists that includes University of Toronto Mississauga anthropology professor Gary Crawford, sheds new light on the origins of rice domestication and on the history of human agricultural practices.

“Today, rice is one of most important grains in the world’s economy, yet at one time, it was a wild plant…how did people bring rice into their world? This gives us another clue about how humans became farmers,” says Crawford, an anthropological archaeologist who studies the relationships between people and plants in prehistory.

Working with researchers from the Provincial Institute of Cultural Relics and Archaeology in Zhejiang Province, China and Fudan University in Shanghai, Crawford found the ancient domesticated rice fragments in a probable ditch in the lower Yangtze valley. [...] University of Toronto Mississauga / Link 2 


Actualización: Explorando el origen del cultivo agrícola del arroz — Noticias de la Ciencia y la Tecnología 
....  la evidencia más antigua de arroz domesticado (o sea adaptado a su cultivo agrícola) acaba de encontrase en China, y tiene unos 9.000 años. El hallazgo aporta nuevos y esclarecedores datos sobre los orígenes de la domesticación del arroz y sobre la historia de las prácticas agrícolas humanas.

El descubrimiento lo ha hecho un equipo de arqueólogos que incluye al profesor Gary Crawford, de la Universidad de Toronto en Mississauga, Canadá, un arqueólogo y antropólogo que estudia las relaciones entre las personas y las plantas en la prehistoria.

Los autores del estudio pasaron unos tres años explorando un yacimiento arqueológico de cinco hectáreas, en la zona baja del valle del Yangtsé, y allí encontraron los citados restos antiquísimos de arroz domesticado.

Observaron que aproximadamente el 30 por ciento del material de la planta del arroz, incluyendo las cáscaras y la epidermis de la hoja, no era silvestre, sino que mostraba signos de que las plantas habían sido seleccionadas y cultivadas a propósito para obtener variedades de planta de arroz que fueran duraderas y adecuadas para el consumo humano. Este hallazgo indica que la domesticación del arroz ha estado en marcha durante mucho más tiempo de lo que se creía previamente. Los restos de planta del arroz analizados en el nuevo estudio también tenían características del arroz japónica, el tipo utilizado en el sushi que se cultiva hoy en día en Japón y Corea. Esto clarifica el linaje de esta variedad específica de arroz, y confirma por primera vez que se forjó en esta región de China.

Mohenjo Daro | Official Trailer




UTV Motion Pictures and Ashutosh Gowariker Productions Present Mohenjo Daro starring Hrithik Roshan and Pooja Hegde The film is directed by Ashutosh Gowariker and releases on August 12, 2016.

During the Pre-historic Indus Valley, in 2016 BC, the evil greed of a man is about to destroy one of the oldest cities in the ancient world, Mohenjo Daro. A young indigo farmer, Sarman, enters the city and meets Chaani, the daughter of the Priest, predicted to be the Origin of a New Society. Sarman, in his attempt to win Chaani's love, uncovers the secrets nobody was ever supposed to know - about Chaani, about Mohenjo Daro and about his own past!

MOHENJO DARO is a story of an ancient love and our past, present and future! ... dnaindia.com

Vídeo añadido a PaleoVídeos > L.R.2.10. nº 39. 

WATCH: This is humanity's origin story




Humans. We have been around for a while now. When we think about our past we think about ancient civilizations, the pyramids, stuff like that. But this is only a tiny, tiny part of our history... ScienceAlert

Video: What Happened Before History? Human Origins- Kurzgesagt – In a Nutshell
PaleoVídeos > L.R.2.10 nº 38.

Estudian los carnívoros salvajes para interpretar los de yacimientos prehistóricos europeos

El Centro Nacional de Investigación sobre Evolución Humana (CENIEH) ha iniciado una nueva línea experimental con carnívoros salvajes para caracterizar las modificaciones causadas por estos animales en yacimientos arqueológicos prehistóricos.

Ruth Blasco, especialista en Tafonomía del CENIEH, lidera esta nueva línea experimental con animales salvajes en el Pirineo catalán con el objetivo de simular escenarios para establecer modelos de las actuaciones de grandes y pequeños carnívoros y extrapolar los resultados obtenidos a yacimientos arqueológicos pleistocenos europeos, ha explicado el CENIEH a través de un comunicado.

Ambos predadores intervienen sobre los animales con la misma finalidad nutritiva y, por ello, algunas de las evidencias dejadas a su paso son similares. [...] EFE futuro


Vídeo: Ruth Blasco del CENIEH habla sobre Neotafonomía - CENIEH
 Ver en PaleoVídeos > L.R.1.12 nº 13.

La cueva de Atxurra estará cerrada al publico, pero se hará una réplica como la de Altamira


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La Diputación de Bizkaia construirá una reproducción en tres dimensiones de la caverna, ubicada en Berriatua, para que los visitantes puedan contemplar los 70 grabados prehistóricos de gran valor arqueológico

La cueva de Atxurra, ubicada en Berriatua, en la que se han encontrado «como mínimo» 70 grabados prehistóricos de gran valor arqueológico, permanecerá cerrada al público, pero la Diputación construirá una réplica en tres dimensiones (3D) para exhibir su contenido, similar a la de Altamira en la localidad cántabra de Santillana del Mar. La diputada foral vizcaína de Euskera y Cultura, Lorea Bilbao, ha comparecido hoy ante la comisión correspondiente de la Juntas Generales, a petición del Grupo Mixto, para explicar el hallazgo de estas pinturas y las medidas que tomará al respecto la institución foral a partir de ahora.

Bilbao ha asegurado que mantener la cueva cerrada para visitas «no es un capricho» y ha explicado que únicamente tendrán acceso grupos de espeleólogos y arqueólogos, ya que no se descarta que se encuentren más pinturas. «Se trata de un gran descubrimiento arqueológico, que nos ha situado en el mapa mundial», ha resaltado, y ha explicado que ha despertado interés en todo el mundo, y como ejemplo ha citado a grupos de Malasia, Chile, Francia, Cuba o Turquía.

Dicho interés «refuerza la prudencia» y la decisión de no permitir visitas, ya que el acceso a la zona de la cueva donde se ubican las pinturas es complicada y entraña riesgos, además de que la presencia de grupos humanos «puede alterar sus condiciones». En los próximos 6 u 8 meses, los expertos continuarán con el trabajo dentro de la cueva y al cabo de dicho período de tiempo, cuando se sepa «si se cumplen o no las expectativas», se decidirá el siguiente paso a seguir. En este tiempo, la Diputación construirá una réplica en 3D que se entregará al municipio de Berriatua para su exhibición al público [...] El Correo


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